Ceux qui ont lu, dans l’article précédent, les quelques pages que Fassbinder consacre à Douglas Sirk ont pu noter, au tout début du passage cité, l’évocation de Godard, à travers un article que Fassbinder intitule de manière un peu erronée, Le Temps d’aimer et le temps de mourir. En fait, le véritable titre de cet article est Des larmes…
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